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Mass Effect : aide pour configuration graphique !?


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Bioware est complètement incapable d'écrire une histoire d'amour convenable. La présence est discutable, elle sert surtout à flatter l'égo du joueur, mais il y a de rares cas où le résultat est intéressant, je pense surtout à Fall-From-Grace et Annah de Planescape: Torment ou encore Safiya de Mask of the Betrayer et bien que moins mémorable, j'avoue avoir un faible pour la Handmaiden de KotOR 2 (le jeu qui contient un des meilleurs personnages féminins du jeu vidéo: Kreia). Leurs points communs? Ce sont tous des personnages entiers qui n'utilisent pas le joueur comme psychiatre (Aerie, Anomen, Carth, bande de loosers) et ce dernier doit abonder dans leur sens et respecter leurs faiblesses s'il veut finir au pieu avec elles. Les personnages de Chris Avellone par contre sont indépendants et n'ont pas besoin du joueur pour décider ce qui est bon pour eux, de plus il y a souvent une part tragique dans la manière dont la relation est traitée. On est loin des princesses (ou emo dans le cas des hommes) elfes, asiatiques ou extra-terrestre de Bioware.

Remarquez, ils ne savent pas aussi très bien écrire le reste de l'histoire. Il suffit de comparer le travail d'Obsidian sur KotOR2 (l'exemple typique du chef d'œuvre raté) à celui de Bioware sur KotOR pour s'en rendre compte: même univers mais beaucoup plus dense, beaucoup plus ambigu et des personnages bien plus vivants que des silhouettes de carton. Et plus récent encore, sortis tous deux à environ la même époque: Mass Effect et Mask of the Betrayer: la sci-fi générique et routinière contre la fantasy inhabituelle et originale, la ènième quête pour sauver l'univers d'un mal ancien qui se réveille contre la quête désespérée pour se sauver soi-même d'une ancienne malédiction.

Mais on sait de quel côté la presse penche. Et tous les sots de clamer que Bioware réalise les meilleures histoires et personnages dans le monde du jeu vidéo...

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Mais on sait de quel côté la presse penche.

D'ailleurs les tests de l'époque m'avait bien énervé. Les conclusions étaient qu'en gros : Le jeu est doté d'une durée de vie courte mais c'est pas grave il est excellent et on peux passer ce défaut. Comment peux occulter la durée de vie dans un RPG ? Surtout au prix où sont les jeux. Aprés la lecture du test je n'ai d'ailleurs pas acheté le jeu neuf mais attendu l'occasion. Ce genre de tests sur des jeux hypés me gonfle, d'autant plus que c'était peu après la sortie d'Halo 3 un jeu lui aussi surestimé qui se prend des notes maximales.

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Gragt, amusant mais justement le coup des histoires qui se concentrent sur le personnage c'est ce qui est devenu habituel de nos jours.

Sauver l'univers est presque devenu has-been. Maintenant faut ne penser qu'à son nombril (où sa bite si on pense au Witcher) parce que ça fait mieux.

De son côté, Mass Effect commence de la même manière : on va simplement essayer de botter les fesses d'un extraterrestre qui a osé massacré une colonie humaine => on commence par jouer un bon gros vengeur défenseur de l'espèce humaine face au méchant envahisseur (pas beau), qu'on peut ensuite faire évoluer en sauveur de la galaxie (ou bien en conquérant de la galaxie).

Classique, logique, voire prévisible, mais bien fait.

Comme je l'ai dit précédemment, l'intrigue principale du Witcher m'a si peu intéressé que je m'en souviens à peine. Une vengeance d'un amnésique... ouais bon... certes on aimerait bien savoir ce qui lui est arrivé, et c'est pour ça que je vais finir le jeu dès que l'extension sera sortie, mais bon... on ne peut pas dire que ça fasse vibrer. D'ailleurs j'attends une bon grosse révélation inattendue pour la fin parce que sinon j'aurais vraiment l'impression d'avoir perdu mon temps avec un personnage finalement inintéressant. :p

Mass Effect m'a permis de vraiment jouer un personnage "inhabituel" en me permettant des choix auxquels je n'aurais jamais pensé.

Choisir entre dénoncer un voyou ou accepter du pognon de sa part, ça c'est du vu et revu. Éliminer toute une colonie ou bien prendre des risques pour la sauver, ça aussi c'est classique.

Mais dénoncer un flic pour provoquer sa mort et gagner plein de points de pragmatisme grâce à ça, c'est nouveau pour moi ! Surtout que c'est ce choix qui semble rapporter le plus !

Je ne suis pas en train de dire que Mass Effect est un chef-d'œuvre, mais qu'il est simplement efficace.

D'ailleurs ce sujet commençait par une demande d'aide graphique, et il est clair qu'il aurait mérité quelques mois de travail de ce côté.

L'interface aussi, bien que retravaillée par rapport à la version console, est atroce dans les magasins pour la vente des objets.

Les missions secondaires sont des plaisanteries qui n'arrivent pas à la cheville de la mission principale, et ça fait tache.

La modélisation des planètes que l'on visite est trop simpliste (pas d'arbre, pas d'habitation aux formes "extraterrestres", bref, rien !)

J'ai trouvé les combats trop brouillons mais là c'est sûrement moi qui ne suis pas doué. J'ai fini par avoir une petite équipe quasi-invincible mais je ne sais pas trop pourquoi en réalité. :sorry

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Gragt' date=' amusant mais justement le coup des histoires qui se concentrent sur le personnage c'est ce qui est devenu habituel de nos jours.

Sauver l'univers est presque devenu has-been. Maintenant faut ne penser qu'à son nombril (où sa bite si on pense au Witcher) parce que ça fait mieux.[/quote']

Sauver le monde, l'univers, etc. est effectivement vieux et rassi mais peut être un objectif assez motivant si l'histoire et les perosnnages tiennent la route. Anachronox est un bon exemple, je pourrai aussi citer Chrono Trigger dont l'histoire reste simple mais focalisée et avec de nombreux personnages mémorables. Mass Effect n'arrive pas à proposer d'univers intéressant ou de personnages plus consistants qu'une silhouette de carton, c'est un défaut récurrent des jeux Bioware: l'abus de clichés, la soumission au générique.

Je ne sais pas si "ça fait mieux de ne penser qu'à son nombril" mais certainement une bonne alternative par rapport à sauver le monde. Une narration centrée sur le héros et un objectif personnel peut bien plus impliquer le joueur que le sauvetage d'un monde qui ne captive pas. Et j'avoue être curieux à propos des histoires qui se concentrent sur le personnage principal: quels exemples as-tu en tête? Pour autant que je sache la quête introspective reste l'exception et non la norme. Et je parle aussi de jeux où le personnage principal dispose effectivement de choix qui lui permettent de faire une différence à plusieurs niveau, donner un choix entre bon et mauvais est trop facile et pourtant souvent mal géré. Et attention: une quête personnelle signifie que si le joueur devrait échouer, l'univers l'entourrant ne s'en porterait pas plus mal. C'est aussi facile de se concentrer sur le héros rebelle au passé trouble tentant de se racheter en devenant le dernier espoir du monde pour contrer l'ancienne menace qui s'est réveillée.

De son côté' date=' Mass Effect commence de la même manière : on va simplement essayer de botter les fesses d'un [b']extraterrestre [/b]qui a osé massacré une colonie humaine => on commence par jouer un bon gros vengeur défenseur de l'espèce humaine face au méchant envahisseur (pas beau), qu'on peut ensuite faire évoluer en sauveur de la galaxie (ou bien en conquérant de la galaxie).

Seulement deux possibilités donc: sauver ou conquérir. Ne serait-il pas plus intéressant de sauver la galaxie, non pas par sens de l'héroïsme mais parce que sinon il n'y aurait plus de galaxie pour un personnage centré sur son nombril? Et comment conquérir la galaxie? Par les armes, de manière brutale, ou est-il possible d'être subtil, de manipuler les gens, de faire se battre les autres sans jamais se salir les mains?

Classique' date=' logique, voire prévisible, mais bien fait.[/quote']

Oui, je peux accepter mais de manière fort limitée, certainement, en fait non.

Comme je l'ai dit précédemment' date=' l'intrigue principale du Witcher m'a si peu intéressé que je m'en souviens à peine. Une vengeance d'un amnésique... ouais bon... certes on aimerait bien savoir ce qui lui est arrivé, et c'est pour ça que je vais finir le jeu dès que l'extension sera sortie, mais bon... on ne peut pas dire que ça fasse vibrer. D'ailleurs j'attends une bon grosse révélation inattendue pour la fin parce que sinon j'aurais vraiment l'impression d'avoir perdu mon temps avec un personnage finalement inintéressant. :p [/quote']

Une des qualités de The Witcher est que son monde et son histoire sont très différents de la fantasy classique et arrivent à faire quelque chose d'intéressant à partir d'un genre assez sec. C'est vrai que rendre Geralt amnésique est assez cliché mais de très bon voire excellent jeux sont arrivé à utiliser ça de manière efficace (Planescape: Torment et Knights of the Old Republic II), et a au moins l'avantage de permettre au joueur qui n'a jamais lu un livre de Sapkowski de d'être introduit au monde. C'est grossier, certes, mais acceptable surtout au vu du reste. D'ailleurs, de quelle vengeance parle-tu? Et de quelle extension? Si c'est l'Enhanced Edition, c'est un patch.

Je suis content que tu soulèves la révélation à la fin du jeu, un autre concept que Bioware a aidé à populariser et sur lequel ils s'appuient comme une béquille. Dans KotOR2 d'ailleurs Kreia demandait au joueur s'il s'attendait à une grande révélation qui allait secouer les fondations de sa conception de l'univers alors que la vérité sur ses motifs est en fait simple. C'est tout simplement brilliant: l'histoire se maintient elle-même, elle n'a pas besoin de béquille et autre artifices de narration, tout se joue entre le joueur, le monde et les personnages et c'est la qualité de l'écriture, la cohérence du monde, la densité des personnages qui soutiennent le travail. Bioware souffre du même problème qu'Hitchcock ou son intellectuellement et techniquement plus pauvre successeur Shyamalan: la dépendance par rapport à une révélation, un "twist". Ce n'est pas pour rien que les meilleurs films d'Hitchcock sont ceux qui ne dépendent pas d'un twist, comme The Birds ou Lifeboat, Shyamalan par contre n'a toujours rien fait de bon. Pour en revenir à The Witcher, il n'y a pas de grande révélation, juste une histoire qui se met en place sans être expliquée de manière paternelle par le jeu mais avec bon nombre d'indices. C'est aussi un détail énervant et très présent au cinéma, Spielberg est un exemple type: prendre le spectateur par la main et lui expliquer à grand coup de détails l'histoire comme s'il était incapable de comprendre par lui-même, de se forger sa propre opinion, au lieu de laisser un doute ou une incertitude planer, et The Witcher certainement laisse planer un gros doute:

Geralt a-t-il sauvé le pays en tuant un fou, directement inspiré par l'exemple de Geralt qu'il prenait comme figure paternelle, qui dans son délire commettait des atrocités en pensant sauver l'humanité ou bien a-t-il en fait tué le seul qui aurait pu vraiment sauver l'humanité lors du cataclysme à venir?

La fin reste ambigue mais tout à fait dans la ligne de l'histoire où rien n'est blanc ou noir.

On peut aussi ici faire une petite déviation: que tu aimes ou n'aimes pas The Witcher ou son histoire, c'est ton droit le plus strict. C'est totalement subjectif et personne n'a rien à dire à ce sujet. Par contre l'excellence reste un critère objectif et doit être traité comme tel, ainsi ne pas aimer une histoire n'enlève rien à sa qualité (ou le manque de). "C'est mauvais parce que je n'aime pas, c'est bon parce que j'aime" n'est absolument pas valide comme argument objectif et une conséquence du manque de sens critique. L'histoire peut être mauvaise parce qu'elle est mal construite, qu'elle utilise trop de gadgets narratifs, etc. À part ça on a tout à fait le droit d'aimer de la merde et de détester l'excellence, l'important est de s'en rendre compte.

Mass Effect m'a permis de vraiment jouer un personnage "inhabituel" en me permettant des choix auxquels je n'aurais jamais pensé.

Choisir entre dénoncer un voyou ou accepter du pognon de sa part' date=' ça c'est du vu et revu. Éliminer toute une colonie ou bien prendre des risques pour la sauver, ça aussi c'est classique.

Mais dénoncer un flic pour provoquer sa mort et gagner plein de points de pragmatisme grâce à ça, c'est nouveau pour moi ! Surtout que c'est ce choix qui semble rapporter le plus ![/quote']

Ce n'est pas nouveau et c'est même usé jusqu'à la corde. Si tu es sincère en disant que c'est nouveau pour toi je peux comprendre ta réaction mais je peux t'assurer que d'autres jeux ont été bien plus loin. Fallout par exemple, sorti en 1997, permettait au joueur arrivé au Hub de se mettre en contact avec Decker, le criminel en chef local. Celui-ci propose des missions d'assasinat comme tuer un marchand ou une religieuse. Il est possible d'aller voir le sheriff, de dénoncer Decker et de l'aider à le tuer en échange d'une prime. Il est aussi possible d'effectuer les assassinats, se faire payer et ensuite dénoncer Decker et le tuer, ce qui permet de collecter les deux types de prime. Et le jeu ne dispose que d'un indicateur assez basique pour mesurer le "karma" du personnage, il n'y a que peu d'avantages ou inconvénients à être bon ou mauvais, ce qu'il faut retenir est que le jeu laisse le joueur faire son propre chemin sans autres contraintes morales que celles qu'on se donne. Et encore ce n'est qu'un petit exemple du jeu. Arcanum

donne une quête avec une dispute entre plusieurs personnes, certains bons et d'autre moins bons. Il y a bien entendu la possibilité de s'allier avec un des côtés jusqu'au bout ou bien les trahir pour la partie adverse mais il est aussi possible de trahir les deux côtés pour son propre bénéfice.

Tuer quelqu'un dans un jeu Bioware est généralement le choix qui rapporte le plus. Quelqu'un de bon pour Bioware est quelqu'un qui effectue une quête et refuse la récompense, quelqu'un de mauvais effectue la quête et demande une récompense ou bien une récompense supplémentaire. Ou décide de tuer, parce que les gens mauvais pour Bioware sont tous violents, incapable de maîtriser leur rage, sont incapables de subtilité et mangent un chaton tous les matins. Et il y a aussi un compteur qui permet de voir exactement où on se situe sur l'échelle morale avec souvent des bonus si on est un ange ou un démon.

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En fait, je n'ai joué à aucun des jeux que tu cites. :p

(à part Chrono Trigger que j'ai à peine commencé il a 5 ou 6 ans donc ça ne compte pas)

Il est probable que si je l'avais fait, j'aurais un regard beaucoup plus critique sur les cRPG ou action/aventure.

Un peu comme le fait d'avoir joué à Deus Ex me rend sacrément plus critique envers les scénario, contenus ou mises en scène des FPS venus après...

Pour le Witcher, on est bien d'accord, je le trouve bon et je vois bien - je sens bien - qu'il est bon même quand je ne sais pas trop pourquoi.

Mais je ne me sens pas concerné par Géralt que je trouve justement trop simpliste ("la rousse sorcière ou la rousse docteur ?" quel choix inimaginable ! :p Mais n'ayant pas encore fini le jeu, et n'ayant donc pas lu ton texte spoiler, je réserve bien entendu mon jugement final sur les choix dans ce jeu.).

Alors que ma Shepard de Mass Effect, j'ai pu la construire au fur et à mesure. La jauge de gentillesse qui rattrape celle de méchanceté sans que j'y prenne garde et alors que j'avais décidé de jouer une "méchante", c'est bien ma façon personnelle de jouer qui l'a provoqué, tu vois ce que je veux dire ?

Cela n'a pas vraiment d'incidence sur le jeu au final, mais ça donne l'impression sur le moment. De plus, les dialogues sont souvent bien mis en scène selon le choix (même si on ne peut jamais être totalement lèche-botte, ce qui aurait pu être amusant).

Ce que je veux dire c'est qu'un pro comme toi qui veux créer un personnage de toutes pièces, de façon parfaitement réfléchie, va sûrement être déçu par les options finalement proposées, alors qu'un gars qui joue à sa manière, et voit le résultat final au bout trouve ça intéressant de voir ce que sa manière de jouer donne.

Je vais refaire une partie, cette fois en jouant un homme, et je vais vraiment en faire une crevure même si ça va me coûter... :devil

Quoique... si je veux me taper Ashley, il va falloir faire des compromissions... ARGH !

Je touche déjà du doigt une limitation malvenue (quoique, elle aime peut-être les fumiers ? à tester tiens !). :)

Il va falloir aussi que je me trouve KOtOR 1 et 2. Mais ne sont-ils pas sortis que sur consoles ? J'ai un doute tout à coup.

Vais me renseigner.

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Et pour KotOR2, il y a un patch de 1 Gb qui améliore les cinématiques et les musiques histoire de les faire ressembler à quelque chose de décent pour le pc.

C'est d'ailleurs intéressant de comparer les deux: le premier épisode est plutôt bien fini, donne une expérience égale du début à la fin mais reste globalement médiocre en n'osant pas prendre de risques, ce qui ne l'empêche pas d'être amusant. Mais pour donner un exemple le jeu ne propose une fois de plus que de choisir entre jouer un enfant de chœur ou une brute épaisse. Le second épisode par contre est inégal avec des aspects mieux réussis que d'autres, certaines parties de l'histoire ne sont même pas finies par manque de temps pour implémenter la suite, y'a des trucs qui marchent pas vraiment bien mais ce qui marche est excellent. L'histoire est complexe, sombre et sérieuse, les personnages sont assez uniques bien qu'ici encore certains sont plus développés que d'autres (une fois encore Kreia reste la star du show), les antagonistes eux-même sont bien plus mémorable que Malak qui était une bête brute épaisse et Obsidian est arrivé à changer Revan, un personnage assez simpliste dans KotOR1, en un personnage bien plus large qu'on n'aurait pu l'imaginer, confronté à un choix où il devait choisir le moindre mal, c'est à dire envahir et ravager la République, l'alternative étant bien pire. KotOR2 est loin d'être parfait mais il marque.

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C'est tout ce qu'il y a de plus officiel, le media update patch a été rendu disponible par Obsidian. Il semblerait que, pressé par le temps, l'équipe n'a pas eu le temps d'ajouter les musiques et films de meilleure qualité pour le pc, laissant les originaux XBox. Ils ont mis les fichiers destinés à la version pc peu de temps après. À noter qu'il y a deux patches: un pour les vidéos (en six parties) et un pour l'audio.

Il y a aussi les patches officiels, bien entendu, et le Restoration Project. Ce dernier tente de restaurer les zones et quêtes qui n'ont pas pu être finie mais dont il reste des éléments dans les versions pc et XBox. Ils avaient aussi des bugfixes intégrés au pack mais mis à disposition individuellement, pour ceux qui ne voulaient pas attendre le pack pour jouer à KotOR2, mais ils les ont retirés je pense lorsqu'une de leurs beta a été leakée sur le net. Ils l'ont mal pris et on fait un caca nerveux. Autant j'aime leur projet, autant je trouve que c'est une bande d'élitistes politiquement corrects. Leur projet est d'ailleurs proche de Duke Nukem Forever mais soit.

Avant de jouer à KotOR2, il vaut mieux jouer à KotOR1 au moins pour que l'histoire du deuxième soit cohérente puisqu'elle fait beaucoup de références aux événements du premier, une fois encore l'intérêt est de voir comment Obsidian s'est appuyé sur l'histoire assez classique de KotOR pour faire quelque chose de grandiose.

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  • 1 an après...

Bon, alors j'arrive après la guerre, comme souvent sur les jeux car je n'en achète que rarement à leurs sorties, surtout pour le solo.

Mass Effect me réconcilie avec ce genre, que j'avais abandonné après l'époque de Baldur's gate 1/2 et de Planscape Torment (et autres de l’époque), le passage à la 3D m'avait refroidi, et j'étais passé à autre chose.

Je dois dire que c'est d'ailleurs grâce aux promos de ce noël sur steam que j'ai acheté ce jeu puisque 3.75€ j'estime que ce n'est pas cher du tout (j’ai aussi acheté The Witcher EE mais je ne l’ai pas encore lancé et j’attendrais d’avoir fini une fois Mass Effect avant de le faire).

Je n'ai donc pas encore fini le jeu et je me concentre principalement sur les quêtes secondaires, pour monter en niveau, m’équiper (c’est fou comme entre le première quête principale et la seconde je me suis retrouvé avec une équipe qui ne crève plus toutes les 3.5 sec ^^) et ne pas finir trop vite l'histoire, de plus même si ces quêtes sont effectivement répétitives, et les lieux semblables, l'univers galactique est très joli et les descriptifs des planètes plutôt bien fait, j'apprécie toujours de voyager dans ces système stellaires. Comme je suis aussi pas mal contemplatif sur ce genre de jeu je m'oblige à faire et finaliser les quêtes les unes après les autres, de ce fait je rajoute des trajets pour revenir sur la citadelle pour les finaliser et j’en profite pour découvrir certain endroit que j’aurais pu juste traverser vite fait.

À coté de ces objectifs secondaires, j'ai aussi tout de même avancé l'histoire du coté de la matriarche Benezia et de sa fille Liara, et il est incontestable que le jeu prend toute son ampleur sur les quêtes principales, avec un univers plus poussé, un scénario bien mieux ficelé (histoire principale me direz-vous) et des citations plus jouissives.

Coté technique, c'est sur que le premier lancement avec toutes les options à fond ça fait mal, aliasing à mort bug des ombres, textures infâme, mais après modifications du .ini et optimisations des options en passant par le driver nvidia, ça devient sans être superbe, très sympathique. Les textures moches le restes, et ce de façon identique aux screen de Wault en début de topic, mais bon le lissage diminue tout de même l'aspect horrible que l'on a de base.

Donc Mass Effect est un jeu fort sympathique, qui, même s’il reste basique sur certains aspect, me donne envie de continuer pour savoir ce qui va se passer (oui bon en gros on va botter les fesses au gros méchant mais le comment quoi) et me donne envie de m’essayer à nouveau à ce type de jeu abandonné depuis peut-être trop longtemps.

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  • 5 mois après...

J'ai succombé cette semaine. Je n'ai pas encore beaucoup avancé, pas eu beaucoup de temps pour y jouer, mais la première impression est positive.

Par contre, d'un point de vue technique, je suis à la masse. J'ai tenté la résolution native (1366x768) avec les options à moyen et la V-Sync et... Et le jeu saccade, le ventilo s'excite et la température du portable s'élève un peu trop à mon goût. Je verrai à tenter une optimisation comme Wault a mentionné dans un de ses posts, mais je n'y crois pas trop. Finalement je joue sur une résolution plus faible et sans V-Sync (argh).

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J'y ai toujours joué en fenêtré :D

D'ailleurs j'ai testé la démo de Mass Effect 2 dispo sur steam (mais pas que), et il supporte lui le mode fenêtré sans bordure o/ donc quand il sera pas cher du tout et donc que je l'achèterais... Je pourrais jouer en plein écran sans l'être :)

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J'ai tenté le mode fenêtré, tant qu'à faire. Je n'ai même pas eu le temps de reprendre ma partie : ça a commencé à geler (ça me fait toujours bizarre de dire ça alors qu'il fait si chaud) sur 10 secondes lors du chargement de ma partie. Le matériel ne chauffait pas encore (64° pour le GPU, 58° pour le CPU - pièce à 26°). Hard reset, comme d'habitude...

C'est sûrement un problème de drivers. Je réessaierai sous Seven x64, où mes Forceware sont plus à jour. J'espère qu'on peut facilement partager le répertoire Steam sur une même machine entre deux OS.

EDIT : Partager Steam en dualboot XP/Seven a l'air de fonctionner. Dans mon cas je joue sous XP. Une fois sous Seven, il suffit de lancer steam.exe en admin (clic-droit), d'installer le service comme c'est proposé, et l'interface se lance normalement.

Mais je n'ai pas encore pu essayer ME, car il me fait une mise à jour de 2,7 Go :D

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